Franchement cette année la météo est bizarre. Lundi dernier on avait 36° à l’ombre et ce weekend bruine froid et vent.
Si les jours n’étaient pas aussi longs, on se croirait en Novembre !
🙁
Franchement cette année la météo est bizarre. Lundi dernier on avait 36° à l’ombre et ce weekend bruine froid et vent.
Si les jours n’étaient pas aussi longs, on se croirait en Novembre !
🙁
En vente les 48 dernières bouteilles de Château Hourbanon 2000.
Il avait déjà été retiré de la vente, mais en refaisant les comptes des bouteilles que nous mettons chaque année de coté pour la « collection de l’exploitation » nous en avions 48 de « trop », qui se retrouvent en vente uniquement sur le site !
Après la petite vague de froid qui a bien freine la vigne, le retour du beau temps très chaud, plus de 30 degrés, la vigne pousse a vue d’oeil.
Dans le silence de la nuit, en tendant bien l’oreille, on entendrai presque pousser les rameaux.
Début de l’épamprage
Il s’agit grâce a cette machine dans un premier temps d’éliminer les gourmands qui poussent sur la souche
Eh oui voilà le stade ou la vigne devient sensibles aux maladies telles que le mildiou et l’oïdium (les deux principales).
Je me passerai bien de traiter mais sans traitements contre les parasites de la vigne, pas de raisin donc pas de vin 🙁
En lute raisonnée depuis 1988, nous avons beaucoup progressé depuis. En effet, la modélisation des maladies est de plus en plus performante et précise. Nous pouvons savoir en fonction des températures, des pluies, de l’hygrométrie et de nombreux autres facteurs si les spores de ces maladies sont mur et peuvent contaminer la vigne et dans le cas contraire repousser les traitements. Si la météo n’est pas favorable au cours de la saison à des contaminations, nous avons là encore une possibilité de repousser le traitement suivant. Au bout du compte il es assez facile d’économiser un à trois traitement phytosanitaire dans la campagne !!!!!
Pour e faire encore plus, sur les premiers traitements, la végétation est encore faible, donc je ferme les sorties du haut sur le pulvérisateur, ce qui permet de réduire fortement les doses de produit utilisées. Par exemple sur le premier traitement, je n’ai utilisé que 40% de la dose normale !
Les labours de printemps ça dure une éternité !!!
Je ne revaille qu’un seul rang a la fois, en avançant a peine a 3 Km/h, ce qui fait environ 130 Km pour toute l’exploitation a petite vitesse sans compter le temps de tourner au bout du rang !
Mais bon se passer totalement de désherbant chimique ça n’a pas de prix, et puis je trouve la terre fraichement labourée si gratifiant que ça en vaut bien la peine.