Pari gagné ;-)

Mon « levurage » à la vigne s’est avéré payant dans tous les sens du terme : d’une part cela m’a coûte 90 € par hectare mais surtout le résultat est là. La levure s’est implanté et a empêché le Botrytis de se développer.

Comme vous pouvez le voir sur la photo les grains atteints au milieu de la grappe ont séché et n’ont pas contaminé  le reste de la grappe.

vin-medoc botrytis stoppé

Résultat, j’ai put attendre lundi pour récolter des Merlots parfaitement mûrs et avec maximum 5% de pourriture sur les parcelles les plus sensibles

Le temps des contrôles !!!

Mois de juin charge en contrôles, inspections et audits …

En un mois j’aurai eu :

  • Audit du SME : je suis entré dans le Système de Màagement Environnemzntal du CIVB. Il s’agit de formaliser et officialiser une volonté de progression permanente en terme de respect de l’environnement et de sécurité. 
  • Contrôle ECOCERT inopiné : voici ma troisième Anne en Bio et mon cinquième contrôle !
  • Et enfin audit de l’ODG (Organisme de Défense et de  Gestion de notre AOC) : qui vient verifier la bonne tenue du domaine et le respect du cahier des charges de notre appellation. 

Tout cela au mois de juin, la période la plus dense dans les vignes en dehors des vendanges. C’est pas comme si je n’avais rien d’autre a faire que passer mon temps au bureau à cette saison !!!!!

Le prix des vins du Médoc sur 36 ans

J’ai reçu mardi soir un mail depuis le site, d’une personne ayant du Hourbanon 1975 dans sa cave. Le voici :

« Bonjour,
Retrouvant par hasard dans un carton votre carte datant de 1978 (tél:41-02-88), je me suis souvenu que j’avais encore en cave 2 bouteilles de « cru bourgeois de 1975″. En garnison à Mourmelon (51400) nous avions un pilote AMX 30 dont le père Mr F……… travaillait sur votre propriété (régisseur ? ) Par son intermédiaire nous avions donc passé commande à 2 reprises de l’ordre de 120 à 180 bouteilles….pour ma part ma commande était de 72 bouteilles pour un montant de 1172.40 francs…..nous étions en 78 ou 79 …cela date. Salutations. »
 

Je suis donc allé faire un petit calcul :

  • remise à jour de l’inflation cumulée et conversion de devise (source INSEE) :
    1172.4 FRF en 1978 représentent aujourd’hui 613,15 €
  • Prix à la bouteille en 1978 actualisé :
    613.15 € pour 72 bouteilles = 8,52 € / bouteille
  • Tarifs du 2012 aujourd’hui :
    10 €
  • Pour 180 bouteilles remise de 9%
    10€ – 9% = 9,10 €
  • Augmentation en 36 ans : 0.58 €
    0.58 € / 8,52 € X 100 = 6.8 %
  • Augmentation annuelle moyenne :
    6.8% / 36 ans = 0.19 % par an !!!!!!!

Trouvez vous qu’avec tous les progrès technique et surtout qualitatifs depuis cette époque je n’aurai pas du augmenter beaucoup plus ?

J’ai fait le même calcul avec le Château Palmer (mon père en achetait à l’époque) donc je connais les prix, fin des années 70 le Palmer valait environ 50 FRF / bouteille, le 2012 est aujourd’hui vendu 230 € la bouteille.
Donc 50 FRF de 1978 = font 26.15 € d’aujourd’hui.
Je vous laisse finir le calcul ……

Bon allez pour les pas matheux cela fait une augmentation de 779,54 %

QUI, oui, QUI, QUI va oser me dire que je suis trop cher ?????
J’attends vos commentaires ….

Coffret Saint Valentin : ménage à 3 !!!!

C’est Marie Claire qui m’a soufflé le nom lorsque je lui ai dit que je pensais faire une belle petite boite de 3 bouteilles pour la Saint Valentin.

Rendez vous à cette adresse pour passer vos commandes

J’aime bien comme nom et vous ?vin medoc saint valentin 3

Cette jolie caisse bois de 3 bouteilles (d’ou le nom) contient :

 

  • 1 bouteille de Château Hourbanon 2007
    Médaille d’Or concours des vignerons Indépendants
    Médaille d’Argent International Wine Challenge
    Second Cru Classé DUSSERT GERBER
  • 1 bouteille de Château Hourbanon 2008
    Médaille d’Or Gilbert & Gaillard
    Second Cru Classé DUSSERT GERBER
  • 1 bouteille de Château Hourbanon 2009
    Médaille d’Or concours de Vignerons Indépendants
    Médaille d’Or Gilbert et Gaillard
    Médaille d’Argent Concours Mondial
    Médaille d’Argent concours International de Bruxelles
    Médaille de Bronze International Wine Challenge

 

La Verticale du Médoc

Souvent les journalistes, sommeliers et autres professionnels du vin parlent de « verticale », mais qu’est-ce donc ?

La verticale est une dégustation de plusieurs millésimes d’une même appellation ou région et mieux encore du même vin. Cela est assez rare.

Je vous propose une verticale en Médoc, évidement en Hourbanon. 6 millésimes de grande qualité, comprenant 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012

vin-mpedoc-verticale 2007 2012

Vous pourrez ainsi déguster à votre convenance tous ces vins. Que ce soit à l’occasion d’une soirée thématique entre amis ou en famille ou bien petit à petit dans votre intimité et en toute quiétude.
Vous verrez ainsi la personnalité de chaque millésime et l’effet du vieillissement.

En mémorisant bien le style de chaque année, vous serez ensuite plus forts pour identifier d’autres millésimes en dégustation à l’aveugle au sein de la grande famille des vins de Bordeaux. Car le style du millésime est valable pour toute une région/appellation.

Bref apprenez en vous amusant et en partageant un bon moment de convivialité !

Rendez vous à cette adresse : https://www.vin-medoc.oxatis.com/la-verticale-c2x15089056

Et c’est pas moi qui le dit !!!!

 

La Lettre du Professeur Joyeux est un service d’information indépendant sur la santé, spécialisé dans la prévention des maladies auprès du grand public et des familles. Rendez-vous ici pour vous inscrire gratuitement (vous pouvez vous désinscrire en vous rendant ici).

Ce qui est bon dans le vin : le French paradox

Les vins ont plus de mille constituants. Nous verrons les plus importants.

L’eau d’abord, qui constitue 85 à 90 % d’un litre de vin. Cela permet de comprendre qu’il n’est pas logique de mélanger le vin et l’eau, sauf le nuage de vin chez l’enfant au-delà de 10 ans, en lui expliquant pourquoi tant qu’il est petit.

L’apport calorique reste faible car un verre de vin n’apporte pas plus de calories qu’une pomme, soit 50 calories.

Chez l’adulte, notre collègue le Pr Serge Renaud (1927-2012) a été le premier à découvrir le French paradox [1], en démontrant que la mortalité cardio-vasculaire est relativement plus basse en France alors que « le régime alimentaire contient beaucoup trop de graisses saturées (viandes rouges et charcuterie) et que les concentrations sanguines en cholestérol sont similaires à celles que l’on trouve aux USA ou en Angleterre. »

Serge Renaud et ses collaborateurs ont montré que la cause de ce paradoxe était à rechercher dans la consommation de vin. Dans une publication ultérieure, ils ont démontré, sur une cohorte de 36 000 personnes, qu’une consommation modérée de vin était associée à une nette diminution de la mortalité par hypertension.

Pour la collaboratrice de Serge Renaud, le Dr Dominique Lanzmann-Petithory, gériatre, docteur en épidémiologie de la nutrition, « l’effet négatif de l’alcool contenu dans le vin, bien réel – quand il est consommé en excès – est plus que compensé par l’effet positif des nutriments contenus dans le vin. » Ne traduisez pas buvant n’importe comment et sans limites !

Le polyphénol le plus connu, le Resvératrol, est un puissant antioxydant, antivieillisement présent dans la peau du raisin et ensuite dans le vin rouge

Il est présent dans le vin rouge aux taux de 6 à 60 mg par bouteille selon les crus. Chez la souris, ce polyphénol est actif à la dose de 2,5 mg/kg/jour contre le diabète de type II [2]. Pour obtenir un effet équivalent chez l’homme, une dose de 15 mg de Resvératrol par jour devrait être suffisante, ce qui correspond à consommer un verre de vin à chaque repas, soit 250 ml au total par jour.

Le Resvératrol, déjà dans la peau du raisin, est beaucoup plus présent dans les vins rouges (2 mg/l) que dans les blancs (0,2 mg/l). Son pouvoir antioxydant est 20 fois supérieur à celui de la vitamine E, il réduit le mauvais cholestérol (LDL), inhibe l’agrégation des plaquettes avec un effet plus temporaire que l’aspirine comme fluidifiant du sang.

A propos du cancer du sein : où sont les risques ?

Le vin aurait des effets anticancer in vitro sur des tumeurs expérimentales, et même anti-œstrogénique, mais in vivo certaines études épidémiologiques ont montré qu’un seul verre de vin augmenterait les risques de cancer du sein.

En réalité, il faudrait ne pas oublier d’interroger d’abord les femmes à propos de leurs consommations hormonales qui sont directement et principalement en cause. Là encore, les lobbies des hormones sont encore trop puissants. Ils savent parfaitement minimiser ou réduire à minima des risques majeurs.

Les femmes, dans les dossiers médicaux, sont curieusement très peu interrogées quant à leur consommation hormonale. S’il est noté à l’heure du diagnostic qu’elles prennent ou pas d’hormones, jamais n’est notée la quantité d’hormones consommées au total. Elle dépasse de plus en plus souvent 10 à 15 ans et les doses sont considérables pour des organes très hormonosensibles.

On peut considérer le Resvératrol comme un pesticide naturel produit par le raisin pour se protéger contre bactéries et champignons (mildiou) et aussi sous l’effet du stress. Nous verrons le même phénomène du pesticide naturel avec l’huile d’olive qui contient d’autant plus de polyphénols que l’olivier est stressé par le manque d’eau et la forte chaleur. nque d’eau et la forte chaleur.

La ”Rutine” est un autre polyphénol

Il participe à la contraction de la musculature lisse des côlons et du rectum et ainsi à l’avancée des matières avant leur évacuation. Pas cher et plus agréable que les traitements modernes de la constipation. Du temps du Cardinal de Richelieu, le verre de Médoc était sa tisane !

  • La Quercétine est un polyphénol antioxydant de la famille des flavonoïdes. C’est un des composants actifs de l’ail. On en retrouve également dans les câpres, les choux (de toutes sortes), les baies, le raisin, les haricots verts, le thé, les oignons (rouges), les pommes et le sarrasin. Le vin rouge contient quelques dizaines de mg/l, suivant les cépages et la macération. La quercétine comme complément alimentaire est efficace dans le traitement de la prostatite chronique, par son rôle anti-inflammatoire et antioxydant.
  • Deux sortes de constituants anti-alcool participent à la métabolisation de l’alcool : la thiamine ou vitamine B1, et les autres vitamines du groupe B d’autre part, qui modulent les effets de l’alcool. Dans les cas de sevrage alcoolique et en particulier de delirium tremens, on ajoute aux traitements la vitamine B1, et en plus la B6 et la PP (B3) qui, lorsqu’elle manque, donne des troubles de la mémoire.

L’étonnant taux des acides aminés essentiels

Il est intéressant enfin de signaler son apport en acides aminés essentiels, à des taux très proches de ceux observés dans le sang humain. Je fais remarquer que les 4 éléments C (carbone), H (hydrogène), O (oxygène) et N pour l’azote, symbolisent biologiquement la vie humaine. Ils sont présents dans les acides aminés essentiels spécifiques de l’homme qui sont les chaînons constitutifs des protéines vitales. Ces acides aminés essentiels – que l’on ne peut pas se procurer autrement que par l’alimentation – sont au nombre de 8 et curieusement aux mêmes taux dans un litre de vin rouge que dans un litre de sang humain. « YHWH, Dieu n’a pas trouvé de plus auguste matière pour la transformer en son sang », remarqua l’écrivain Huysmans (1848-1907) dans son livre L’Oblat.

Taux des 8 acides aminés essentiels (mg/l) dans le vin et le sang humain :

Les 8 acides
aminés essentiels
VIN rouge à 12° SANG humain
Thréonine 16,4 9-36
Valine 21,7 19-42
Méthionine 6,2 2-10
Tryptophane 14,6 4-30
Phénylalanine 25,5 7-40
Isoleucine 12,4 7-42
Leucine 32,2 10-52
Lysine 51,7 14-58

 

La minéralité des vins donne les arômes, les touches olfactives et gustatives

Je rappelle l’importance du maintien et de l’entretien du goût et de l’odorat qui, lorsqu’ils faiblissent, sont les premiers signes des maladies neurodégénératives, Parkinson et Alzheimer en premier. On retrouve l’intérêt du verre de bon vin pour éviter ces maladies.

  • Les minéraux (jusqu’à 5 g par litre) : Le calcium pour les os (80 mg/l) ; le potassium (jusqu’à 1 g/l, plus dans les rouges que dans les blancs [3]) pour le cœur ; le magnésium (60 à 150 mg/l) pour les muscles ; le sodium (10 à 40 mg/l) plus concentré dans les vignobles de bords de mer.
  • Les oligo-éléments : Les vins issus de l’agriculture conventionnelle (AC) ont un contenu en fer (10 à 20 mg/l) légèrement supérieur (écart de 23 %) à celui des vins issus de l’agriculture biologique (AB), mais ils contiennent moins de cuivre (écart de 74 %) que les vins AC. Il faut ajouter comme cofacteurs de réactions enzymatiques : silice-soufre-manganèse-zinc-chrome (avec le vieillissement du vin) et iode des bords de mer.

 

Les effets du vin dans notre organisme

Les conséquences immunitaires de 500 ml de vin par jour (5 verres de vin) [4] à 12° pendant deux semaines

Le test a été réalisé par une équipe allemande de Karlsruhe chez 24 hommes âgés en moyenne de 30,6 ± 1,4 ans et pesant 79,7 ± 1,4 kg consommant pendant deux semaines jusqu’à 500 ml de vin par jour. Les auteurs ont recherché les conséquences sur le système immunitaire avec les paramètres suivants (pour les spécialistes) : activité phagocytaire de globules blancs neutrophiles et monocytes – production de TNF alpha – inteleukine 2 et 4 – TGF bêta – prolifération lymphocytaire – activité des natural Killers (NK) et pourcentage des lymphocytes apoptotiques. Ils n’ont pas trouvé de perturbations significatives, et concluent évidemment qu’on ne peut extrapoler ces résultats sur des périodes plus longues.

  • Comme apéritif, les vins doux peuvent ouvrir l’appétit, créant une certaine salivation avec la sécrétion de ptyaline ou amylase, on dit que l’eau vient à la bouche. Cette enzyme transforme l’amidon en dextrine, en maltose et glucose. C’est pour cette raison qu’il est bon d’ajouter à l’apéritif quelques végétaux, comme des petits légumes à croquer.
  • Le vin consommé en milieu ou en fin de repas facilite la digestion des repas gras
  • Le vin surtout rouge est diurétique et antiseptique urinaire. Il a des vertus antibiotiques en particulier contre les colibacilles, qui peuvent venir dans le système urinaire par le cycle entéro-rénal en particulier chez les personnes constipées chroniques.
  • Le vin par son polyphénol la “rutine” facilite la contraction intestinale et ainsi peut éviter la constipation, si l’on associe à l’alimentation les fibres des fruits, légumes et légumineuses cuites al dente.
  • Le vin agit sur la sphère mentale, ce que résume François Rabelais : « Le jus de la vigne clarifie l’esprit et l’entendement, chasse tristesse, donne joie et liesse. »

Ainsi, avec le vin consommé modérément, pas plus d’un verre à chaque repas, les papilles se régalent, l’estomac s’allège, le cerveau se libère, le cœur se renforce, le foie se protège, les articulations se fortifient, les reins et la vessie s’inondent, les côlons et le rectum se libèrent de leurs déchets. Quelle économie pour la santé !

« Ce n’est pas juste exprimer son goût et dire que c’est plus ou moins bon. C’est aussi écouter une histoire, un chant secret, parfois rustique, parfois élégant, toujours authentique, celui qui a aidé la vigne à bien construire son raisin. C’est elle la musicienne ; vous, les vignerons, ne pouvez être que chefs d’orchestre » Nicolas Joly [5].

Régalez-vous donc. Mais attention, dans ma prochaine lettre, je ferai le point sur les dangers de l’excès d’alcool, qu’il ne faut pas nier ni sous-estimer.

Professeur Henri Joyeux

Publicités :

Pas vu à la TV : Retrouvez toute l’actualité de la santé naturelle, indépendante et sans concession grâce à Alternatif Bien-Être, journal de référence de la santé naturelle, à découvrir ici (lien cliquable).

Nutrithérapie : Savez-vous que le curcuma empêche les cellules cancéreuses de proliférer ? Qu’il faut l’associer à de l’huile pour l’assimiler ? Découvrez Les Dossiers de Santé & Nutrition dans cette vidéo.

 

Si vous pensez que ce message pourrait intéresser un ami ou un proche, n’hésitez pas à le lui transférer par email (utilisez la fonction « transférer ce message » dans votre boîte de messagerie électronique). Pour partager cet article, vous pouvez utiliser l’un des réseaux sociaux suivants :
Sources :

[1] En 1991, il est invité aux USA sur la plus grande chaîne, CBS News, pendant une heure. Il expose sa découverte du French Paradox : « les Français ont des risques statistiques de maladie cardio-vasculaire 3,5 fois inférieurs aux Américains grâce à leur consommation modérée de un à trois verres de vin rouge par jour, riche en antioxydant, en dépit d’une consommation équivalente de graisses saturées ». Ces déclarations ont un grand impact en Amérique du Nord et en Asie et stimulent la communauté scientifique internationale pour des recherches supplémentaires sur ce sujet. Les exportations de vin français quadruplent aux États-Unis.

[2] Cell Metabolism oct. 2007, vol. 6, pp. 307-319

[3] Jusqu’à 2 g dans les Sauternes

[4] Daily moderate amounts of red wine or alcohol have no effect on the immune system of heathy men – European Journal of clinical nutrition 2005 ; 58, 40-45 – B Watzl & all.

[5] La Vin du Ciel à la Terre – la viticulture en Biodynamie – Ed. Sang de la Terre 2008
Les informations de cette lettre d’information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d’information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

Ecoulage, pressurage du marc de Médoc

Non ça ne fera pas du bon marc à distiller pour faire une fine de qualité. En revanche mon vieux pressoir de plus de 80 ans va me donner des vins de presse d’une qualité exceptionnelle et après quelques mois d’élevage je pourrai assembler dans mes médocs l’intégralité de ce vin.